Par Samantha Stefanoff (NatureServe Canada)
La traduction en français sera bientôt disponible – French translation coming soon
Le projet de cartes de répartition automatisées par écosystèmes (EBAR) de NatureServe Canada vient tout juste de terminer un autre exercice réussi. Quelques statistiques :
Les espèces d’intérêt, y compris les espèces candidates du COSEPAC, doivent toujours faire l’objet d’une révision par des experts. Si vous ou quelqu’un que vous connaissez aimeriez participer à titre d’expert, veuillez écrire àebar-kba@natureserve.ca
Ce dernier exercice, l’équipe EBAR de NatureServe Canada a aussi créé une carte des points chauds qui résume le nombre de cartes de répartition d’espèces EBAR (du total de 477 cartes publiées incluses dans l’analyse) qui recoupent chaque écoforme. Voyez des images de la carte des points chauds fournie et rendez-vous au https://www.natureserve.org/canada/ebar pour en savoir plus et pour accéder aux données du SIG et à la documentation supplémentaire.
Légende de la carte des points chauds :Carte résumée des points chauds présentant le nombre de cartes de répartition EBAR par écoforme en date du 31 mars 2025. Au total, 477 cartes de répartition (incluant les cotes élevées et moindres) d’espèces en péril (en voie de disparition, préoccupantes, menacées ou disparues du pays) ou d’espèces évaluées par le COSEPAC (en voie de disparition, préoccupantes, menacées, disparues du pays, disparues ou données insuffisantes) ont été incluses à l’analyse. Les écoformes d’une couleur rouge foncé indiquent les zones dans lesquelles un plus grand nombre de cartes de répartition EBAR se superposent à des écoformes (c.-à-d. un plus grand nombre d’espèces présentes, présentes par le passé ou attendues dans l’écoforme).
En plus du travail sur les EBAR, l’équipe EBAR-KBA de NatureServe Canada a continué de contribuer au projet de KBA Canada :
NatureServe Canada s’efforce d’obtenir du financement afin que nous puissions poursuivre notre travail de soutien au projet de KBA Canada en 2026-2027 et par la suite, notamment en contribuant au projet sur les KBA pour des écosystèmes.